Thursday, August 19, 2010
Retour au Canda: Retour à la réalité
Au retour, nous avons fait nos bagages et fait nos salutations au Kenya. Nous avons pris l'avion ensemble jusqu'à Amsterdam ou nous nous sommes quitter pour prendre chacun notre avion qui nous ramènera chacune chez soi (elle, Vancouver; moi, Montréal). C'est ainsi que notre grande aventure se termine.
Merci à tous de nous avoir suivi et encouragé!
À une prochaine fois!
Kathleen.
Sunday, July 18, 2010
La vie de tous les jours au Kenya (partie 2)
Vocabulaire- leçon no 2
Maintenant que vous avez pratiqué leçon no1, vous êtes prêts pour la deuxième leçon!
Waitoi nani? (Quel est ton nom?)
Okoapi? (Ou es tu?) Ici, tout le monde a un téléphone cellulaire parce que c’est abordable et les cartes d’appel même avec un petit montant peuvent durer longtemps. Alors, quand notre coordonatrice appelle quelqu’un elle va le saluer et c’est de coutume de lui demander ou il est (oukoapi?). J’ai été témoin de plusieurs appels voilà pourquoi cette phrase m’est restée dans la tête!
Lalasalama! (Bonne nuit!)
Karibu chakula (Bon appétit!)
Cours de cuisine kenyane
À l’hotel Farmview à Busia, nous avons reçu des cours privés de cuisine kenyane. Pour un après-midi, nous avons échangé notre outil de contention pour les cochons et nos seringues pour une spatule et des chaudrons. Les chefs cuisiniers, Marc et Monee, et leurs assistants ont volontairement donné de leur temps pour nous enseigner les rudiments de la cuisine kenyane. Chapati, mandazi, crèpes et shortcakes était au menu. Les recettes se font à l’œil et au goût, ce qui ajoute une difficulté supplémentaire pour les reproduire mais c’est aussi ce qui les rend unique. Après une courte démonstration, c’est à nous de mettre la main à la pâte : roule, coupe, tourne, ajout de farine, soupçon de sel, cuisson 30 minutes. Attention, c’est chaud!!! Enfin, nous recevons l’approbation du chef pour la dégustation! Un vrai délice!
Influencé par les britanniques, les kenyans adorent le thé noir. Je vous ai dit qu’ils adorent le thé, en fait c’est une véritable obsession! Au petit déjeuner, le thé est chaud et réconfortant -Morning chai-. À midi, prenons une pause pour déguster une autre tasse de thé avec une petite collation (patates sucrées, mandazi ou œufs bouillis) en attendant le dîner-Noon chai-. En après-midi, vers 16 heures, au retour du travail… il faut se reposer de notre dure journée et prendre le thé- 4 o’clock chai-. Finalement, après le souper vers 20 heures, pour bien conclure la journée et assurer une bonne nuit de sommeil, il est préférable de boire une autre tasse de thé!
Nous avons pensez échapper à cette habitude et prendre la moitié d’une tasse parce que nous trouvions que la fréquence de nos visites à la toilette augmentait drastiquement et que pour nous prendre du thé brûlant quand il fait 35C à l’ombre est peut-être pas la meilleure solution pour se rafraîchir. Erreur!! Prendre la moitié d’une tasse est effroyablement décevant pour nos hôtes, ils ont d’abord pensé que je nous n’aimions pas leur thé. Nous avons tenté de leur expliquer mais sans succès puisqu’ensuite ils ont compris que nous étions malade! Haaaa, nous abandonnons… allons-y avec une tasse!
Le thé est servi dans un thermos pour le garder chaud et est en fait appelé «mix tea» (thé mélangé) parce qu’il contient moitié eau et moitié lait en plus des deux cuillères à soupe de sucre qui y est ajouté (ou plus, il faut en fait être généreux avec le sucre!).
Les kenyans accordent une grande importance au thé et son partenaire, le sucre, parce que ces derniers sont deux produits qui proviennent du Kenya. Le thé pousse dans la Vallée du Rift où l’air y est plus frais et les terres sont fertiles. Le sucre, «Mumia’s sugar», est fabriqué à partir de la cane à sucre où le jus en est extrait dans une usine situé à Kakamega.
Si vous êtes invité pour souper et recherchez un présent à offrir à vos hôtes kenyans, je vous déconseille une bouteille de vin ou des fleurs. Je vous suggère plutôt d’offrir du thé et du sucre. En plus, ils vont bien ensemble!
A votre san-thé! ;)
Kathleen.
Friday, July 16, 2010
Reject & Destroy all evils: time to live in a village!
First of all, you should count your blessings; since you can read this blog, you likely have access to electricity and running water – luxury comforts that are rarely found in villages. And certainly not part of the amenities included in our accommodation at our host family’s compound.
If you want to lead a Green Life, then village-living would be your ideal choice. Everything revolves around nature: you wake up when the sun comes up or when the rooster sings (whichever comes first), and you sleep when the only light source is the moon. The in-between time would be saved for working.
Most of the villagers here are self-employed – i.e. they work on their shamba (farm). They plant different kinds of vegetables, mostly local varieties with names that I can’t pronounce. Many of them also have lots of fruits, enough to make delicious mix-tropical fruit juice.
Another Green Point for village living is the “solar-powered bathroom”. Imagine this: taking a shower while basking in the sun’s warmth, listening to the mooing from the nearby cows, all while entertaining yourself by watching t
he people passing by. Yes, showers can be quite exciting when you take it outdoors. Luckily, we got to shower in-doors – more precisely, in the en-suite bedroom of our host parents. The bathroom is divided from the bedroom by one mud-wall (& has no doors) and careful planning is required if you want a warm ba
th. First, you must fetch water from a borehole, transport it in large plastic containers (if you really want to fit in, you’d carry it on your head), and bring it back to the compound. Second, you will need to find a sunny spot to let the UV rays to heat up your water. Then you will be all set for a bucket-shower! The Kenyan sun really is that powerful – leaving the water there during the day would guarantee a warm bath in the evening. Some villagers are even using solar panels to harvest the sun’s energy!
Cooking, on the other hand, isn’t so environmentally friendly. It’s like cooking over an open campfire, 3 meals a day
(more if you want to include a mid-day snack and evening chai), every single day. Meko, the traditional 3-stone-with-firewood “stove” is the norm. The amo
unt of smoke that is created by burning the firewood is unbelievable; maybe that’s why kitchen is in a separate hut, away from the main house. The first time I went to cook supper with our host mother, I could barely keep my eyes open due to the smoke and the dismal lighting from the kerosene lamp (yes, only one) made it even harder to see. Yet, somehow, the women can still manage to see, breath, and cook under those conditions. Maybe I shouldn’t complain about how hard it is to cook, when all my food can be prepared by simply pressing the “START” button on the microwave.
If you are looking for more adventure, try the toilet. A warm-up exercise might be required for those who don’t do squats regularly. The toilet really is just a fancy name for a latrine, which really is just a hole in the ground (but with 3 walls & a door, if you are lucky). No bathroom reading material is needed, as
you can keep your mind occupied by counting the number & variety of “friends” that are accompanying you: ants, flies, mosquitoes, and the occasional 1 or 2 geckos. A note of caution: if you go in with a flash light at night, the spotlight really highlights & (I swear) even magnifies the size of those friends. Maybe that helps with letting the bladder go…
The sleeping arrangement isn’t quite as interesting as the toilets, but it was still unique. Our bedroom is a mud-hut with iron-sheet roofing that had no windows. The gap between the roof and the mud walls provided inlet for fresh air. During the day, the hut was more like an oven, but that really helped to dry our laundry (it’s a big no-no to hang underwear outside – of course there were no dryers!). At night, the tiny holes in the iron-sheet roofing allow the moonlight to shine through, creating a rather “romantic” atmosphere… Don’t worry, nothing happened, other than Vivian’s occasional slip of sanity… and it is totally due to the malaria prophylactic!
All and all, it was a great experience living in the village. Apart from not
having all the comforts that we have taken for granted, it truly was an
enjoyable, living as-one with nature. It taught me to enjoy the simple pleasures in life, and not to complain so much. Really, we are truly blessed
by having all kinds of resources available
to us. If you are still keen on trying, the village welcomes you – Karibu!
Monday, July 5, 2010
Butula et l'école primaire de Bukati
En visitant à plusieurs reprises les fermes depuis les quatre dernières années, nos coordinatrices, Dre Cate Dewey et Dre Florence Mutua, ont été témoin d'un besoin spécifique pour les enfants orphelins: l'accès à l'éducation.
D'abord, la prévalence du VIH est élevée dans ces régions. Le manque de soins, l'isolement des ses villages et l'exposition continuelle à un environnement à l'hygiène douteuse rend la situation des parents affectés particulièrement difficile. Les enfants en bas âges sont receuillis par les proches parents qui parfois n'ont pas les moyens financiers pour fournir un crayon et un uniforme à l'enfant qui s'est ajouté.
L'école primaire de Bukati, par l'établissement de ce projet, a permis de receuillir des dons pour permettre à ces enfants d'avoir accès à l'éducation qui leur est bénéfique. De plus un des professeur, JB, a été formé pour maximiserles plantations qui se font à l'école. Il organise avec ses élèves plus âgés des sessions d'apprentissage pour gérer efficacement l'eau de pluie et aussi les plantes qui travaillent naturellement en symbiose.
Notre mission pour la semaine est en continuité avec le projet initial. Nous avons comme mandant d'ensigner aux enfants de 12 à 14 ans des notions générales sur la gestion de la santé de leur animaux. Nous voulons enseigner quelques concepts de base en nutrition, sur les maladies et les parasites afin qu'ils les appliquent à l'école et aussi à la maison. Nous espérons que ces quelques notions s'inscrivent dans leur mémoire et surtout qu'ils les appliquent! Pour s'assurer de leur compréhension, nous avons aussi préparé quelques questions. Ensuite, c'est la correction! Pour vraiment cristaliser ces notions, nous avons aussi donné un cours pratique avec les vaches à l'école. Je pense que les enfants ont apprécié!
Les leçons étaient données en anglais mais quand la classe hésitait, nous pouvions compter sur le support des professeurs.
Quel exercice pour nous de vulgariser des concepts scientifiques mais quel plaisir de les enseigner!!!
à bientôt!
Kathleen.
Kisumu: Hippopotames, robes africaines et zoonoses
Après avoir travaillé près d'un mois à Busia, nous nous retrouvons à Kisumu, la 3e plus grande ville du Kenya. Nous y avons rencontré Alice, vétérinaire au CDC (Center of Disease Control) chez qui nous allons passer la semaine.
Nous profitons de quelques journées de repos dans cette grande ville pour y faire des emplettes et des découvertes!
Dimanche: Rendez-vous avec les hippopotames sur le Lac Victoria. Immense lac d'eau douce qui y habrite les hippopotames. Ils sont timides et nous avons pu distinguer que leur joli minois.
Lundi: Visite chez un couturier pour la confection de notre robe africaine. Le choix du tissu et choix du modèle devient presqu'une torture tant qu'il y a de couleur, de motifs et de modèles!
Mardi: Promenade en ville et arrêt à un musée sur la culture des Luo (une des tribu au Kenya). Nous en sommes sorties beaucoup plus cultivées sur les moeurs et les coutumes de ce peuple!
Mercredi: Journée à la maison pour préparer nos leçons aux enfants de l'École primaire de Bukati la semaine prochaine. Alice est d'une précieuse aide. Il faut vulgariser et garder l'essentiel, c'est notre devise.
Jeudi: Visite organisée par Alice du CDC où elle travaille. Sous haute surveillance, nous devons passer plusieurs contrôle pour enfin arriver aux différents laboratoires.
L'immeuble où elle travaille comporte plusieurs sections: une section sur la malaria
et les maringouins, une deuxième qui étudie les maladies gastrointestinales chez l'homme et les animaux animaux domestiques, une troisième sur les maladies respiratoires chez l'homme et les aniamaux et finalement sa section sur les zoonoses (maladies transmises de l'animal à l'homme). Nous avons travaillé toute la journée sous sa supervision à répéter certaines manipulations de laboratoire puisque le nombre d'échantillon était grand. En fin de journée, tous ces efforts sont récompensés et nous concluons à des résultants significatifs qui amènent encore plus de questions. Ha! La recherche est une quête sans fin, un perpétuel questionnement qui s'avère parfois difficile à résoudre.
Vendredi: Retour à Busia. Nous avons environ 2h de voyagement à travers les routes kenyanes où nous passons l'équateur. Nous allons rester une nuit à Busia et le lendemain, nous nous dirigeons vers Butula où nous allons enseigner aux enfants de l'école primaire. Nous allons donc rester sur place pour une semaine sans eau courante ni électricité... je vous en redonne des nouvelles à mon retour.
Salutations,
Kathleen.
Thursday, June 17, 2010
In Kenya, sausages grow in trees & baskets grown in fields
No, this is not the Disney movie with meatballs falling from the sky. This is an actual sausage tree, but the “sausages” that it bears are brewed to make alcoholic beverages instead of being served up alongside of toast & eggs. Our driver told us to be cautious of elephants hanging out around sausage trees – drunken elephants can be rowdy!
As for the baskets, no, you don’t see basket plants, but the ladies in the villages do utilize stems of some native plants to weave into baskets. In the district of Funyula, where part of the project is done, many women’s groups weave baskets to generate extra income. The extra money helps to support persons with disabilities, HIV (+) individuals & their families, as well as church charities. These talented women can make everything from shopping baskets to measuring cups to fishing nets! Groups like these not only empower the women to be more confident, other similar famers’ groups (incorporating men & youth) also provide a platform for idea sharing and teamwork, thus uniting the village as a whole to support each other in a sustainable fashion. Hopefully the groups will continue so the entire village can benefit from it.
Thursday, June 3, 2010
la vie de tous les jours au Kenya
Mis à part le volontariat que nous faisons ici, je suis certaine que plusieurs d'entre vous se demandent comment c'est la vie au Kenya pour des canadiennes. Je vous soumet donc quelques anecdotes et descriptions de situations que nous faisons face quotidiennement!
Vocabulaire - lesson no 1
C'est essentiel de connaître un vocabulaire de base en swahili. Pratiquer et répéter à la maison!
Karibu (bienvenue)
Jambo (bonjour)
Habari (comment ça va?) réponse: mezuri (bien) il semble que ce soit la seule réponse possible!
Asante (merci)
Nguruwe (cochon)
Tafadhali (s'il vous plaît)
Les routes
Nous devons les emprunter souvent pour voyager d'un village à l'autre. Elles sont cahoteuses et remplies de nids de poule géants. Notre chauffeur ou plutôt pilote se faufile allégrement de gauche à droite et puis de droite à gauche afin d'éviter ces cratères (même si la conduite se fait à gauche). Il faut avoir le coeur solide et être certain d'avoir bien digéré notre repas avant d'embarquer!
Lorsque l'orage se déverse en fin d'après-midi sur les routes, elles se modifient
Pas surprenant que les camions peuvent y rester pris, mais quand il y en a deux. c'est la route qui est bloquée!! Lorsque c'est le seul chemin que nous pouvons emprunter pour nous rendre à destination, il faut simplement s'armer de patience et espérer pour le meilleur. (Nous avons attendu près 1h30 avant de pouvoir passer!)
L'acceuil et les salutations
Ce que j'apprécie énormément, c'est l'acceuil que nous recevons. ''Karibu'' est employé dès notre arrivé dans les villages, à l'hotel, par les officiers du gouvernement. Ces gens arrètent leur activités précédentes, nous offrent de s'assoir et chacun se présente à son tour avant de commencer le sujet de l'entretien pour lequel nous nous sommes déplacés. Cette façon de recevoir est ancrée dans leurs moeurs. Acceuillant Kenya!
Pour les salutations, elles varient selon la formalité mais en général, c'est une poignée de main. Le contact peut être maintenu durant la conversation, ce qui me fait toujours sourire. trouvez l'intrus dans la photo à droite ;)
La cuisine kenyane
Voici notre menu quotidien. Nous pouvons ajouter du poulet frit ou en sauce, du poisson (tilapia) frit ou en sauce et un steak au poivre vraiment bien cuit. Aussi, il y a des lentilles et des fèves rouges. Comme accompagnement, nous avons le droit à des chips (frites cuit dans l'huile végétale) ou du riz.
Voici certain plat qui mérite une attention particulière et notre score pour notre appréciation. (de 1 à 5; 5 était le meilleur score)
ougale: farine de maïs mélangé avec de l'eau pour former un pain. Très dense et sans goût particulier mais qui rempli facilement l'estomac! (1) ou (-5 selon Vivian).
chapati: pain plat avec un léger gout salé et bien huilé. (5) Préféré de Vivian
mandazi: pâte de farine de blé frit dans l'huile végétale. Ressemble à des beignes mais sans le goût sucré. La texture est très variable selon les endroits où nous les mangeons. (3)
matoke: purée de pommes de terre mélangée avec des petits pois et du maïs en grain. C'est certain que je rapporte cette recette avec moi! (4)
skuma: (''kale'') Ressemble à des épinards. Les feuilles sont coupées en fines lanières et bouillies. (2 1/2)
cassava: elles sont comme les carrottes, les racines d'une plante. Par contre, pour les consommer, il faut enlever la pelure puisqu'elle contient une substance toxique. Elles ont la textures de patates avec un léger goût sucrés. (4)
purée de bananes plantains: bananes plantains bouillies et écrasées en purée avec du beurre. crémeux et simplement délicieux! (5)
Les commodités de la salle de bain
Nous restons présentement dans un hotel qui offre la salle de bain dans notre chambre avec l'eau courante. Le hic, c'est que parfois, il n'y a pas d'eau. Ce qui résulte à des situations gênantes quand vient le temps d'évacuer le contenu de la toilette. Ou encore, frustrant quand nous revenons le soir et qu'il n'y a pas d'eau courante pour se laver après avoir suer toute la journée en luttant contre les cochons! Mais, nous trouvons une solution. Le gérant de l'hôtel nous demande de prendre le sceau dans notre chambre et de l'apporter à la cuisine pour recevoir de l'eau chaude. Il faut travailler même pour avoir de l'eau chaude! Et nous nous faisons à l'idée de prendre une douche avec un sceau! C'est surprenant le peu d'eau que nous avons réellement besoin pour prendre une douche...
Pour ce qui est des toilettes dans les villages, ce sont des petites maisons à l'écart de la maison principale et lorsque j'ouvre la porte (s'il y a en une) je me retrouve encerclé de mouches et de maringuoins. En ouvrant la porte, j'ai interrompu le repas de quelques geckos qui m'ont donné la frousse pendant un moment. Par contre, leur présence ne me gêne pas. La toilette est en fait, juste un trou dans le sol. Il faut d'abord se préparer: papier de toilette dans une main et désinfectant dans l'autre ensuite s'accroupir, viser et se soulager.
Voilà je vous laisse imaginer à quoi ressemble nos journées! Nous savons jamais à quoi nous attendre. Je vous promet une suite!
à bientôt!
Kathleen Sary.